LES DROITS DE LA FEMME EN ISLAMcet article décrit ensuite lanxiété et langoisse d'une autre femme dont le mari est marin dans la navy. cette femme raconte que lamiral a décidé daffecter un certain nombre de femmes pour travailler avec les marins sur les navires. un navire avec un équipage de 40 femmes et 480 hommes est ainsi parti en mission. a son retour de mission, les pires craintes des épouses des marins se sont avérées justifiées. en effet, on a appris que non seulement il y eut de nombreuses idylles amoureuses à bord du navire, mais la plupart des femmes ont eu des rapports sexuels avec plus d'un homme. larticle rapporte que dans l'etat de floride, les veuves sont très soucieuses depuis la libération des femmes, parce qu'un juge de cet etat a déclaré inconstitutionnel un article de loi qui exonérait des impôts sur les revenus les veuves qui ne possédaient pas plus de 500 dollars, en arguant que cette loi constitue une discrimination contre les hommes et au profit des femmes. larticle ajoute que les veuves de floride sont les premières à pâtir de cette tendance à l'égalité des sexes. le tour des autres viendra. pour beaucoup de gens la question est de savoir si les femmes ont perdu beaucoup plus qu'elles n'ont gagné à la suite de leur "libération" ? mais nous disons à quoi bon cette interrogation ? les jeux sont faits. cette année, vingt-sept amendements à la constitution américaine ont été adoptés, en vertu desquels tous les privilèges liés au sexe de l'individu sont considérés comme inconstitutionnels. ainsi les craintes exprimées par le professeur ruscobound, de l'université de harvard, selon lesquelles la libération de la femme aura des conséquences regrettables pour la position légale de la femme aux etats-unis. g. irvin, un sénateur de caroline du nord, après avoir étudié la société américaine où les hommes et les femmes ont des droits égaux, propose que tous les codes familiaux soient amendés et que les hommes naient plus à couvrir le budget de la famille. selon cette revue, un jour mme macdaniel dit que certaines ouvrières de son usine souffrent d'hémorragies internes parce qu'elles soulèvent des objets lourds, et que ces femmes désirent revenir à leur ancienne position. elles veulent être considérées comme des femmes et non pas comme de simples ouvrières. pour les partisans de l'égalité tout semble très simple. ils sont assis tranquillement dans leurs appartements luxueux et parlent de l'égalité des droits, mais ils n'ont jamais mis les pieds dans les usines où la plupart des femmes salariées de ce pays doivent travailler. mme macdaniel dit qu'elle ne veut pas de cette égalit, parce qu'elle ne peut faire de travaux manuels. les hommes sont plus forts que les femmes. elle préfère laisser tomber le travail plutôt que rivaliser avec les hommes. les privilèges que les femmes qui travaillent en tel était l'essentiel de larticle. il apparaît clairement, daprès son contenu, que ces femmes sont si écurées par ce qu'on leur a imposé au nom de la liberté et de l'égalité, qu'elles sont devenues allergiques à ces deux mots. elles oublient que ce ne sont pas les mots qu'il faut blâmer. l'homme et la femme sont deux étoiles, avec leurs orbites distinctes dont elles ne doivent pas sortir : «le soleil ne peut rattraper la lune, ni la nuit devancer le jour. chacun d'eux vogue dans son orbite.» leur bonheur, tout comme le bonheur de toute la société humaine, dépend de la condition dans laquelle ils se meuvent dans leurs orbites distinctes. la liberté et l'égalité ne peuvent être utiles que si chacun des deux sexes suit son cours naturel. lorsque nous disons que la question des droits de la femme à la maison et dans la société doit être réexaminée ou réévaluée, et qu'il ne faut pas qu'elle reste dans les limites de sa précédente évaluation, nous entendons par là que nous devons être guidés par la nature et prendre en considération toutes les expériences heureuses et malheureuses du passé, et spécialement celles du siècle courant. c'est par la suite seulement que laction en faveur des droits de la femme devient vraiment positive. il est admis par tout ami ou ennemi que c'est le saint coran qui a ravivé les droits de la femme. même les adversaires admettent du moins que le noble coran a franchi, à l'époque de sa révélation, un grand pas vers lamélioration de la condition des femmes et la restauration de leurs droits humains. le saint coran a fait renaître les droits de la femme en sa qualité d'être humain et de partenaire de l'homme dans l'humanité et les droits humains, mais sans négliger la qualité spécifique de la femme ou de l'homme. en dautres termes, le coran na pas oublié la nature de la femme. c'est pourquoi il existe une parfaite harmonie entre les commandements de la nature et les commandements du saint coran. la femme dans le coran est la même que la femme dans la nature. ces deux grands livres divins, l'un créé, lautre compilé, se conforment pleinement l'un avec lautre. le principal but de notre livre est de projeter la lumière sur cette harmonie et cette conformité, et de les expliquer.
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