LA VERITE SUR LE SHIISME ET LA REFORME3- « nous te ferons bientôt réciter le coran. tu n’oublieras que ce qu’allah voudra te faire oublier. il connaît ce qui est apparent et ce qui est caché. » vs :6-7 (lxxxvii) » ainsi que d’autres versets sur lesquels le dr.el mussawi s’est basé pour faire la distinction entre les désirs personnels du prophète (saw) et les ordres d’allah. avec une forte excuse à l’intention du dr. el mûssawî, je lui demande comment, sans connaître les règles de la syntaxe arabe ni celles de sa rhétorique ni la distinction entre le sujet et le complément, ni les particules de la restriction et de l’exception précédée de la négation, il s’est permis de commenter les versets du coran, guidé par ses opinions et ses impulsions ! comment s’est-il permis de prétendre à la réforme sans connaître au préalable le statut du messager (saw) ni la distinction entre les ordres divins et les volontés personnelles du prophète (saw) ?. celui-ci veut-il quelque chose en contradiction avec ce que veut allahgloire à lui ? les désirs du prophète (saw) se situent-ils en dehors des cinq jugements auxquels sont soumis les actes des responsables ? le dr. el mûssawî a-t-il oublié ou ignore-t- il que la sunnah du prophète(saw) comporte ses paroles, ses actes et son approbation tacite ou formelle ? ses volontés font-elles partie de la sunnah ou de la bid’ah ?. etant donné que la sunnah est l’une des sources les plus importantes de la législation islamique, celui qui la renie rejette en fait les enseignements de l’islam et devient par conséquent incroyant. ou bien croit-il (el mûssawî) que les volontés du prophète font partie de la bid’ah? nous cherchons refuge auprès d’allah contre les divagations des esprits. nous demandons au dr el mûssawî. : comment faire la distinction entre les volontés personnelles du prophète (saw) et les décrets divins alors que le saint coran nous enjoint de prendre tout ce que le prophète(saw) nous ordonne de prendre ?.
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