COMMENT J'AI ETE GUIDEpeut-on demander où est la justice prétendue des compagnons ? khaled ibn ai-walid qui est pour nous, les sunnites, l'un des plus grands compagnons, a dégainé son épée pour tuer les musulmans et s'emparer de leurs biens et de leurs femmes et enfants. alors qu'on le surnomme : "l'épée de dieu" quel dieu ? celui qui dégaine son épée contre les gens innocents qui se sont soumis à son service ? gloire à toi seigneur exalté, tu n'as pas crée les cieux et les terres vainement, cela est la croyance des incrédules qui iront en enfer. comment cela fut permit par aboubaker, le khalife des musulmans, d'autoriser ces crimes et ne point sanctionner les criminels. de plus, il ne permit pas à omar de parler contre khaled, et se fâcha de abi katada, pour avoir dénigré l'acte de khaled. avait-il, donc, la conviction que khaled avait de bonnes intention ? mais, quelle preuve peut-on avoir contre des criminels et des ingrats qui prétendent, une interprétation quelconque ? personnellement, je ne crois pas qu'aboubaker, était convaincu par l'interprétation, présumé de khaled. de plus que ce dernier ne s'est jamais excusé auprès du khalife en prétendant avoir mal interprété ! ?. c'est pourquoi omar ibn ai khattab l'appelait; ennemi de dieu et voulait le tuer pour avoir tué un musulman innocent, ou le lapider pour avoir violé une femme. mais puisque aboubaker était de son côté, khaled n'a subi aucun châtiment, et bien au contraire, il fut acclamé vainqueur. les historiens ont noté que aboubaker l'a envoyé une seconde fois au yamama, dont il est sorti vainqueur, et notons surtout qu'il a épousé une femme de cette région. sans doute, avait-elle un mari, dont khaled s'est débarrassé avec la même "bravoure" que la première fois. et certainement, qu'aboubaker ne pouvait le blâmer. les historiens rapportent aussi que aboubaker, adressa tout de même, une lettre à khaled ibn el walid, lui disant: "prends garde! Ô enfant de ta mère, tu épouses des femmes, alors qu'au seuil de ta maison, le sang de mille deux cent musulman, que tu as fais coulé n'a pas encore séché".
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