ABU ZHAR AL GHIFARI63. "murûj al-thahab" d'al-mas`ûdî, vol. 1, p. 438 ; "ta'rîkh al-ya`qûbî", vol. 2, p. 148. 64. id.ibid. 65. ceux qui (tel abû sufiyân) avaient combattu l'islam jusqu'au dernier moment et qui devaient en principe passer par les armes, mais que le saint prophète fit bénéficier d'une amnistie générale, pour qu'il puissent vivre en paix au sein de l'islam. c'est pourquoi on les appela les amnistiés (tulaqâ'). on les désigna aussi par le terme "al-mu'allafah qulûbuhum" (les coeurs à rallier), car, le prophète sachant que ces gens avaient accepté l'islam, contraints et forcés,après la conquête de la mecque, et que dans leurs coeurs, ils restaient obscurantiste (pré-islamiques, jâhilites) et hostiles à la religion, leur donnait des allocations dans l'espoir de rallier leur coeur à l'islam, ou tout au moins, de les neutraliser et de modérer leur haine enfouie de la nouvelle foi (l'islam). 66. "tâj al-`urûs", vol. 4, p. 220; "tâbaqât ibn sa`d", vol. 8, p.31; "musnad ahmad", vol. 3, p. 126; "mustadrak al-hâkim", vol. 4, p. 47; "sunan al-kubrâ d'al-bayhaqî", vol. 4, p. 53; "al-nihâyah"d'ibn kathîr, vol. 3, p. 286 imprimé en egypte; "lisân al-`arab", vol. 11, p. 889;
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