JAMAIS SANS L'ISLAMdans les chapitres suivants, je passe en revue les épreuves malheureuses subies chez leur mère par mes trois petits enfants. * * * nul doute que la propreté des enfants joue un très grand rôle, dans la protection de leur santé et de leurs facultés physiques et mentales. sans elle, les enfants ne bénéficieront pas complètement de leur nourriture et de leurs jeux. sur le plan de la théorie, sultana savait ce qui l'attendait dans ce domaine quand elle s'est arrogé le droit de garde et l'autorité physique et normale sur nos enfants. mais totalement prise dans les filets de ses habitudes malsaines et accaparée par ses feuilletons américains et ses veillées polluées, elle ne pouvait sur le plan de la pratique, que négliger la propreté de ses enfants que j'ai moi-même pris chez le médecin pour débarrasser leurs jolies têtes des poux qui les envahissaient. un autre facteur de malpropre est la négligence de la tradition islamique des ablutions qui précédent chacune des cinq prières quotidiennes auxquelles toute mère consciencieuse habitue ses enfants musulmans. il va sans dire que l'achat de beaux vêtements et de belles chaussures ne pourra jamais remplacer le devoir d'entretenir régulièrement et soigneusement la propreté et la santé des enfants. or, cela exige l'organisation de son temps, le flair de leurs besoins et la patience dans l'exercice de leur entretien. malheureusement pour mes trois petits, leur mère de par son éducation et sa mollesse fait peu de cas de ces qualité maternelles de valeur. un troisième facteur inquiétant s'est ajouté au cumul des négligences et des saletés dans l'appartement de madame: le gros chien noir de miryarn, belle-sœur de sultana, qu'on hébergeait tout près de la chambre des enfants. d'aucuns croient que l'islam a le dégoût et la phobie des chiens et des bêtes. il n'en est rien. la règle générale dans cette religion est de donner à chaque être vivant son dû. le prophète qui dit que les anges n'entrent pas dans une pièce où il y a un chien, dit aussi qu'une femme pécheresse se fit pardonner ses péchés après avoir donner à boire à un chien assoiffé. ce qui répugne, ce n'est ni l'élevage, ni l'entretien, ni l'acquisition de ces animaux, c'est le fait de les mêler à soi-même de telle manière qu'ils mangent à la même table que leur maître ou maîtresse, qu'ils couchent dans le même lit ou tout près, ou qu'ils se promènent dans la même salle que les enfants. la médecine, l'hygiène et la spiritualité donnent raison à l'islam. mais qui peut faire entendre raison à une femme qui "voit l'herbe et ne voit pas le gouffre" ? un quatrième danger qui guette la santé des enfants chez leur mère: les fumées des tabacs et des stupéfiants consommés en présence des enfants surtout quand s'ajoutent aux concubins leurs frères et amis de tout bord et que les fenêtres de l'appartement sont fermées.
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