JAMAIS SANS L'ISLAM

quel père musulman peut-il accepter de voir ses enfants adopter ce genre de comportement ?

malgré ces empiétements extravagants sur mes droits de père, j'ai essayé de trouver une excuse à la mère de mes enfants: les jeunes d'aujourd'hui, me suis-je dit, s'ils ne sont pas sincèrement croyants, bravent les interdits et, pour s'imposer ils ne pensent qu'à s'y opposer. quand ils mûrissent, ils acquièrent le sens de l'équilibre. malheureusement la maturité de cette femme tarde trop à venir !

envahissaient nos cuisines et nos tables, nous risquons encore de nos terres! répondit-il

- non! rétorquai-je mais depuis que les arabes avaient mis à l'index le

testament du prophète!

(1)jésus n'a-t-il pas dit qu'il n'était pas venu pour abolir la loi ?

ce qui est venu c'est un autre drame, un nouveau degré d'imbécillité chronique: l'exposition des enfants au problème le plus grave de notre siècle: le trafic et la consommation de la drogue.

rapporté par mes propres sources d'information, l'événement me fut confirmé par sultana elle-même: lors d'une perquisition à son domicile, la gendarmerie belge trouva de la drogue (de la farine selon les enfants) sous le lit de son fils mahdi. pour protéger son compagnon, la dame dit que les coupables étaient ses deux frères s. et b. qui dormaient dans l'appartement et qui abusaient de sa confiance. les événements ultérieurs montreraient que madame faisait bien partie de la bande.

seigneur! de la drogue à la portée de mon fils et de ses sœurs de telle sorte qu'il suffisait à l'un d'eux de chercher un jouet perdu ou une pièce de monnaie cachée pendant une partie de jeu pour tomber là-dessus. comme je l'ai dit plus haut, c'est la même justice qui a ordonné la perquisition au domicile de ceux qui détiennent mes enfants qui est restée aveugle et sourde quant à ma demande de revoir le jugement en référé ou de statuer sur le fond du dossier. j'ai écrit aussi au juge de la jeunesse qui répondit que la saisie de la drogue au domicile susmentionné était une affaire étrangère au problème de la garde des enfants. le calvaire de mes petits semblait se prolonger indéfiniment.

quant sultana et les siens surent que j'ai enfin bougé pour rééquilibrer la balance en ma faveur, ils redoublèrent de cochonneries et de malices à l'égard de mes enfants :