JAMAIS SANS L'ISLAMles méfaits de la consommation de la viande porcine et de ses dérivés sont connus et divulgués par les centres scientifiques et médicaux qui accusent le développement dans l'urine et le sang de cet animal impur des microbes nocifs et porteur de maladies. sultana le savait. en achetait-elle donc parce que c'était moins cher que du mouton ou du bœuf ? ou voulait-elle seulement enraciner chez mes enfants des habitudes culinaires (en plus des autres) incompatibles avec supposons que la médecine moderne dotée des moyens scientifiques et techniques considérables parvienne à neutraliser tous les microbes nuisibles du porc, il n'en reste pas moins que la consommation de sa viande par des musulmans reste interdite pour des raisons autres que médicales et physiques. en réfléchissant sur les lois de la chari'a, en particulier sur les textes relatifs à l'interdiction de la viande porcine, le musulman y décèle deux raisons principales qui sous-tendent cette loi : la première est celle qui consiste en l'obligation spirituelle chez le croyant de ne pas traiter avec railleries, légèreté ou indifférence les sanctions "divines" qu'il faut au contraire comprendre et appréhender. les deux exemples cités à ce sujet par la tradition sont justement la signification spirituelle que comportent certains animaux tels le porc et le singe aux images desquels furent métamorphosés certains groupements de peuples rebelles et pervers(l) (voir coran sourate 2 verset 65 et sourate 5 verset 60). le deuxième est celui des vestiges d'anciennes cités telles babylone, sodome, gomorrhe et les ruines de thamudh où il est mal vu par la religion de s'y installer ou de s'y plaire. la deuxième raison est l'impureté que recèle la nature porcine dont le corps et le sang ne sont que la forme extérieure de cette impureté intrinsèque. aujourd'hui, la science montre clairement les incidences que peuvent avoir les corps, les uns sur les autres quand il y a contact ou assimilation (en l'occurrence, l'incidence que peut avoir la consommation du porc sur la santé physique de l'homme). bientôt, la science mettra l'accent sur la réalité spirituelle, ses fonctions et ses interférences avec le physique et le social. en d'autres termes, aujourd'hui on comprend comment le mal de la vache folle peut atteindre l'homme; demain on comprendra comment l'impureté du porc peut atteindre l'âme du consommateur. il est déjà acquis que la nourriture de l'enfant détermine d'une part non négligeable la formation et le développement de son tissu musculaire, de ses organes intérieurs, de son cerveaux et de ses neurones; ce qui revient à dire que la nourriture que consomme l'homme participe à la construction de sa personnalité et de son tempérament (2) (1)loin de cautionner la théorie selon laquelle l'homme serait descendant du singe, l'islam, par le coran et par la sunna, fait craindre une évolution inverse mais désastreuse à l'homme incroyant et pervers. par sa dénaturation de l'espèce et son oubli de ces origines célestes, l'homme qui n'a été ni singe ni porc, pourrait bien le devenir. (2)voulant taquiner un ami originaire du hidjaz, je lui dis un jour: maintenant vous êtes sans doute capable de libérer jérusalem et le golan!
- cela était possible à nos ancêtres qui mangeaient du chameau et du cerf et buvaient du lait de chamelles et de chèvres! nous, depuis que des poulets blancs et de la viande congelée importée du nord... la vie psychique est morale de l'homme subit également l'impact de ses habitudes nutritives. avec les facteurs historiques et sociaux qui sont, en occident, à l'origine de l'indifférence constaté actuellement chez beaucoup de pères et d'époux à l'égard de la luxure de leurs fille et de l'infidélité de leurs femmes, n'y a-t-il pas lieu de citer la consommation de la viande du porc qui, contrairement à d'autres mâles, ne manifeste aucun signe de jalousie quand bien même il voit un ou plusieurs porcs suivre une femelle. cette métamorphose sociale qui fait l'homme occidental a tendance, en général à présenter, sans ambages, sa femme, sa mère, sa fille ou sa sœur à l'homme étranger qui l'enlace devant lui rit au nez ou l'embrasse, ne provient-elle pas du développement de certaines "cellules" psychiques et mentales caractéristiques du cochon dans l'âme du consommateur de la viande porcine pourtant prohibée par moïse, jésus(l) et mohammad ?
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