JAMAIS SANS L'ISLAMsur un autre plan d'action, je portai dans le cabinet de m elle véronique pièces et documents susceptibles de faire pencher en ma faveur la balance des juges belges. deux semaines après, ceux-ci, en guise de réponse, décidèrent de reporter encore la séance prévue pour revoir, à ma demande, le jugement attribuant injustement et aveuglément la garde des enfants à leur mère qui n'avait plus d'autorité effective sur eux. voici les nouveaux moyens défensifs présentés au tribunal des certificats médicaux prouvant la négligence par l'autre partie de l'état de santé des enfants. un p.v. certifiant l'existence d'un homme étranger vivant dans le même appartement que les enfants. un document judiciaire relatant la perquisition effectuée par la gendarmerie dans l'appartement des deux concubins qui avaient caché de la drogue sous le lit de mon fils. une lettre écrite par mon avocat qui affirma, après enquête, que l'homme italien qui accaparait et la mère(l) et les enfants, était effectivement poursuivi pour trafic de drogue. (1)les enfants répètent toujours que cet homme n'hésitait pas à pratiquer de la violence sur leur mère et à subtiliser son argent. toutes les démarches effectuées auprès de l'avocat, du juge de la jeunesse et au palais de justice s'avérèrent inutiles: on faisait délibérément la sourde oreille à mes s.o.s. désespérés. un jour, revenant bredouille du palais de justice, j'eus l'idée éclair de reprendre mon dossier des mains de mlle véronique afin de me défendre moi-même ou de payer les services d'un autre avocat.
|