Les Rites du PÄlerinage de la Mecque (Manâsik al-Hajj)3- Les oiseaux sauvages, s'ils venaient Å• attaquer les pigeons du Haram, peuvent Ä™tre tués par le mohrem. 4- Les vipÄres, les grand serpents (al-Aswad al-ghadr), et tous serpents nuisibles, les scorpions, les souris. Il est permis absolument au mohrem de les tuer, sans qu'il soit passible de kaffârah (aumône expiatoire). De mÄ™me, il n'y a pas d'aumône expiatoire Å• payer pour avoir tué une bÄ™te féroce en général-sauf pour elle lion-selon "l'opinion juridique la plus répandue". Selon certains avis juridiques, il faut que le mohrem paie l'aumône expiatoire - égale Å• la valeur marchande de la bÄ™te tuée- lorsqu'il tue l'une de ces bÄ™tes sans en avoir besoin. Article 206 Le mohrem peut tirer sur le corbeau et le L'aumône expiatoire du meurtre d'une girafe est le sacrifice d'une badanah (50), pour la vache sauvage (et selon la "précaution" pour l'âne sauvage) une vache, et pour le lapin et la gazelle (et selon la "précaution", le renard également), une brebis. Article 208 Si quelqu'un blesse un gibier dont l'aumône expiatoire est une badanah, et qu'il n'a pas les moyens d'acheter celle-ci, il doit nourrir soixante pauvres, Å• raison d'un modd(51) d'aliment par personne, et s'il ne le peut pas, il doit jeűner pendant 18 jours. Lorsque le pÄlerin tire un gibier qui a pour aumône expiatoire une vache dont il n'a pas le prix Å• payer, il doit nourrir trente pauvres, et faute de pouvoir le faire, il doit jeűner pendant neuf jours; et si l'aumône expiatoire du gibier est une brebis et que le pÄlerin n'a pas les moyens de l'acquérir, il doit nourrir dix pauvres, et faute de moyens lÅ• encore, il doit jeűner trois jours.
|